Le mot du curé – Septembre/Octobre 2020

Alors que dans certaines régions de France les élus se mettent à démolir les églises qu’ils n’ont pas entretenues on est, par contraste, en admiration devant le soin que prennent les équipes municipales de notre ensemble paroissial à entretenir le patrimoine architectural, religieux ou non, de leurs communes. L’église de Saint Hippolyte du Fort en a bénéficié à l’automne 2019, et, en ce moment, c’est l’église de Quissac qui est en travaux.
Le toit et les surfaces extérieures sont comme neufs et l’accès aux personnes handicapées est désormais assuré.
Le toit de l’église de Sauve devrait être réparé au cours de l’année.
D’autres travaux plus discrets mais toujours nécessaires, sont assurés ici et là : vitraux à consolider, fuites à colmater.
La communauté paroissiale assure de son coté le financement de certains travaux : ainsi le chœur de l’église de Durfort est désormais décoré de belles boiseries grâce à l’initiative des paroissiens.
Dans nos églises et malgré les contraintes dues à la grippe, la vie continue. C’est ainsi que se construit peu à peu la communauté chrétienne.

Le vœu que je formule pour 2020-2021 est de revoir à l’église, lors des messes dominicales, les visages de ceux qui se sont mariés ou qui ont fait baptiser leur enfant.

Une église rénovée est faite pour accueillir un peuple rénové par la foi et les sacrements, un peuple uni par des liens de fraternité qui sont à entretenir eux aussi.